The Atlantic propose trois conseils pour embrasser l’ennui, le ridicule et ainsi se forger une vie plus heureuse à partir de petites choses.

Selon de récents sondages, s’ils rejettent les dynamiques patriarcales, les jeunes sont nombreux à envier les modes de rencontres amoureuses de leurs parents : un monde analogique où l’on se regarde dans les yeux et se séduit sur une piste de danse un verre à la main. La boîte de nuit du samedi soir a été remplacée par le “binge” sur Netflix.

Selon le sujet consacré dans le New York Times, on s'est toute.s déjà mis.e.s dans des colères noires et (au moins une fois) les avoir regrettées. Y sont compilés des témoignages tantôt drôles, tantôt gênants et pour lesquels on éprouve de la compassion.

Selon une récente étude, un Français sur deux souffrirait d' IFS (Information Fatigue Syndrome) lié aux informations qui pop-up jour et nuit sur nos écrans. On le reconnaît à l'engourdissement de la capacité d'analyse, les montées d'angoisse ou encore la difficulté à respirer à fond lorsqu'on consulte ses mails ou les actualités.

Une enquête menée en 2020 par l'Institut Kinsey a révélé que 24 % des personnes mariées aux États-Unis avaient des rapports sexuels moins fréquents qu'avant la pandémie, et que 17 % des femmes ont signalé une diminution de leur satisfaction sexuelle.